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Limiter l’impact des périodes assimilées dans le calcul de la pension

Pour rendre chaque individu plus responsable de sa pension, nous proposons de travailler avec des quotas pour les périodes assimilées, en fonction de la nature de l’inactivité. Il serait par ailleurs possible de faire varier l’assimilation plutôt que de devoir choisir entre une ou aucune assimilation. De cette façon, on peut par exemple, avoir pour les pauses-carrières un quota de deux ans qui soit entièrement assimilé (via un compte personnel dans le système notionnel). Deux années supplémentaires ne peuvent ensuite pas être entièrement assimilées et un malus est pris en compte dans le compte pension. De cette façon, on parvient à mieux traduire l’attitude générale à l’égard des diverses formes d’inactivité. Aux périodes d’inactivité au cours desquelles l’intérêt de la société n’est nullement pris en considération (pensons à la fameuse pause-carrière pour faire le tour du monde), on y lie alors une pénalité actuarielle (6 à 7% par an).