Marc De Vos voit un schéma derrière la crise de l’euro: l’orgueil européen face aux réalités nationales. Les membres de l’Union Européenne ont pour habitude de s’engager au fonctionnement de l’Union Européenne alors qu’ils veulent seulement tirer la couverture à eux.

Marc De Vos ne voit que trois manières de payer le coût de la crise de l’Euro. L’option la plus facile est d’introduire une redistribution parmi les contribuables européens. La Belgique devra porter une partie de son coût.

Ivan van de Cloot pense que nous n’arriverons à une analyse rationnelle de la crise de la dette européenne seulement si nous reconnaissons que la responsabilité doit être partagée entre les autorités grecques, les décideurs politiques européens et investisseurs privés.

Marc De Vos épingle les standards toujours plus faibles de notre éducation universitaire. Il met en garde contre une spirale négative d'inflation des diplômes, avec toujours davantage d’étudiants obtenant toujours plus de diplômes valant sans cesse moins.

Etienne de Callataÿ analyse la communautarisation des allocations familiales telles que proposées par la note Di Rupo. Il y voit deux aspects positifs essentiels : le refus de créer des sous-nationalités à Bruxelles et la responsabilisation financière des communautés.

Le financement dual des hôpitaux n’est plus adapté aux soins hospitaliers d’aujourd’hui et, surtout, de demain. Jeroen Trybou et Brieuc Van Damme plaident pour une transparence totale des flux financiers grâce à une évaluation en profondeur.

Marc De Vos nous met en garde pour l’agenda chinois derrière les prêts et investissements. La Chine ne se voit pas comme un pays, mais comme un modèle de civilisation. L’argent chinois est un instrument de la stratégie géopolitique qui pourrait menacer l’Occident.

Marc De Vos voit la crise communautaire belge comme une problématique de partis politiques: le succès des nationalistes flamands sera-t-il durable ou pas? Les partis politiques wallons sont, pour l’instant, les alliés objectifs de la NV-A.