Marc De Vos considère que la “formule Claeys”, utilisée depuis 35 ans pour calculer les délais de préavis, est un mal nécessaire. Cette formule est le symbole d’une réglementation discriminante et dépassée sur le licenciement.

Marc De Vos se penche sur le déclin démocratique au niveau international. Il constate discrédit, mauvaise volonté et impuissance. En outre, les riches régimes autoritaires représentent un danger. L’Occident doit poursuivre la défense des valeurs démocratiques à travers le monde.

Le passage au vert de la fiscalité est une bonne idée en ces temps de lourds déficits budgétaires. Cependant, il semble difficile d’adapter, de manière rapide et radicale, un système fiscal où le travail constitue la base imposable la plus importante.

Oui, nous avons besoin de technologies basées sur les énergies renouvelables. Oui, les marchés n’ont pas réussi à donner les incitants nécessaires pour la réalisation d’importants projets de recherche et développement en matière d’énergies.

Marc De Vos exprime sa frustration à l’occasion du énième rapport du Comité d’Etude sur le Vieillissement. La préparation du vieillissement a échouée. Les comptes ne sont pas justes. Seules des réformes énergiques et une stratégie de croissance réfléchie pourront nous sauver.

Marc De Vos condamne le gaspillage de la seule richesse naturelle en Belgique : le talent humain. En matière d’éducation, de migration et d’intégration, ainsi que sur le marché du travail, le gaspillage est omniprésent.

D’après Ivan Van de Cloot, même si l’on parvient à épargner 22 milliards d’euros, cela ne suffira pas à assumer l’ampleur de la dette publique et la croissance du coût du vieillissement après 2015.

C’est peut-être un cliché de la Saint-Sylvestre, mais notre santé est bel et bien notre bien le plus précieux. Notre intégrité psychologique et physique est intouchable et nous souhaitons la préserver à n’importe quel prix – au sens le plus littéral.